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Je me trouvais sur un petit marché comme l'on en trouve dans le sud et le sud ouest de la France en été, ces marchés où se mêlent marchands de 4 saisons et vendeurs de bibelots.

Au détour d'une allée mon regard fût attirée par une femme aux formes généreuses comme je l'ai aime tant. Au delà des ses courbes harmonieuses, c'est son habillement que je reçu comme un coup de poing au ventre. Cette femme personnalisait la féminité dans sa façon de porter cette petite robe blanche, assurément elle ne pouvait porter aucun sous vêtement, la blancheur immaculée de la robe les aurait fait remarquer immédiatement, la robe était haute sur de superbe cuisse et moulait un fessier à damner un saint, le haut n'était pas en reste, la coupe en dos nu permettait un décolleté profond qui supportait une poitrine lourde de laquelle même de là où j'étais je pouvais deviner les mamelons.

Autant voir dire que je mis tout en œuvre pour suivre cette personne qui au demeurant était accompagné, heureux hommes ne pouvais je m'empêcher de penser.

La belle papillonnait d'étal en présentoir, à un moment le souffle me manqua, intéressée par une pièce de tissu qu'elle prit sur un cintre situé en hauteur, j'eu une vision qui me fit dresser dans mon pantalon, la Dame était en contre jour je pouvais voir se dessiner sa délicieuse entrejambe au travers du fin tissu, dans son geste ses seins roulèrent légèrement me révélant leurs formes gracieuse.

Dans le même moment, je sentis le regard de l'homme qui l'accompagnait, je décidais malgré tout de continuer à les suivre. De toute façon j'étais subjugué par ma vision le reste m'importait peu. Ils marchaient enlacés amoureusement l'un se penchant vers l'autre pour donner ou prendre un baiser, les mains du monsieur s'égaraient de temps à autre sur les formes que je convoitais. Ils arrivèrent à un étal de 4 saisons, une nouvelle fois mon corps me trahis, la Belle sous prétexte je pense d'attraper un article se penchait en avant dévoilant de ce fait la naissance de ses fesses, en même temps je m'imaginais la vision de bonheur que pouvait avoir le marchand.

Leur achat terminé, l'homme me lança un regard appuyé mais nullement réprobateur, comme une invite à les suivre, ce que je fis.

Leurs parcours nous mena dans un dédalle de ruelle ensoleillée, les contres jours successifs finir par m'exciter complètement, quand ils entrèrent dans un jardin menant à une maison, je restais en retrait mais l'homme me fit signe de venir, je restais à distance.

 

Ils arrivèrent dans le patio de la maison et ils s'embrassèrent avec fougue, il l'a renversa sur la table et fit tomber la robe au sol. Elle le prit en bouche, la vigueur du male était déjà bien avancée.


Il saisit dans le cabas resté près de la table, un légume, une courgette ou un concombre et il entreprit de lui caresser l'entrejambe, la belle ouvrit son merveilleux trésor. Imperceptiblement je me rapprochais, j'étais à quelques pas et je pouvais entendre leurs respirations. Je pouvais voir la rencontre du légume avec le merveilleux fruit mur et juteux qui le recevait, l'homme la besognait avec science alternant, puissance et longue pénétration, la belle relevait ses jambes pour parfaire l'intromission, je pouvais discerner son anus qui brillait de son nectar qui coulait abondamment.

 


Je ne pu m'empêcher de porter la main à mon sexe tendu et turgescent, peut être ai je fais un mouvement qui me trahit, mais à ce moment les deux amoureux portèrent leurs regards dans ma direction. J'étais découvert, mais depuis longtemps semblait-il. Ils me firent signe de m'approcher encore, les deux ensembles pour bien me signifier leur accord commun.

L'homme abandonna la chaleur de la bouche accueillant, il positionna la Belle en appui sur la table, les fesses relevées les seins pendant, et il lui ouvrit les globes fessier à deux mains et appuya son gland sur la magnifique rosette qui palpitait comme un petit cœur, il entra doucement millimètre par millimètre. La belle me fit signe de m'approcher d'elle et me saisit la queue qui battait mon ventre affolée par le spectacle. Elle m'emboucha et de la même poussée qu'elle m'aspira il l'enfila jusqu'a ce que son ventre vint battre les fesses de sa compagne. Les lèvres expertes de la Belle eurent vite raison de moi, dans le même moment tous deux se crispèrent dans un orgasme que je n'aurai osé imaginer dans mes fantasmes les plus fous.


Je ne su que leur dire merci et parti l'âme légère.


 
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